Entreprise 2.0 : l’ère de la culture collaborative

L’entreprise 2.0 désigne l’usage de plateformes collaboratives et sociales au sein d’une entreprise ou entre plusieurs entreprises et ses partenaires et ses clients. L’entreprise 2.0 est une remarquable anticipation de ce que doit être l’organisation des entreprises du troisième millénaire polluée par un excès d’informations sans valeur ajoutée qui contribuent à diminuer la productivité. C’est le passage de l’entreprise hiérarchique à l’entreprise intelligente.

L’entreprise 2.0 est un booster de la créativité par une approche collaborative visant à créer et implémenter de nouvelles méthodes  et habitudes de travail avec de nouveaux outils et référentiels d’évaluation. Elle est basée sur une philosophie de partage et de collaboration.

Cette nouvelle vision de l’organisation de l entreprise et la circulation de l’information est un  élixir qui guérit de ce que souffre la majorité des entreprises.

Obstacles de l’intranet

Les obstacles  qui ne permettent pas à  l’intranet atteindre son plein potentiel sont cités  ci-dessous :

– la vision traditionnelle de l’intranet rarement perçu comme un outil apportant une valeur ajoutée à l’entreprise. les cadres supérieure dans la plupart des organisations ne sont pas encore pleinement consciente du rôle et du potentiel de l’intranet, ni de leurs propres responsabilités en ce qui concerne l’intranet.

-Les technologies actuelles n’ont pas fait un bon travail de capture des connaissances. Les nouvelles plateformes ne se sont pas concentré sur la capture des  connaissances elle-même, mais plutôt sur les pratiques et les sorties des utilisateurs.

. La plupart des plateformes actuelles, telles que les systèmes de gestion des connaissances, les portails d’information, les intranets et les applications, sont très structurées depuis le début, et les utilisateurs ont peu de marge d’influencer cette structure rigide.

-le manque des applications intégrées qui génère un grand flux de communications.

-l’intranet n’entre pas dans la stratégie d’affaire de l’entreprise.

-l’intranet n’est pas disponible pour tout le monde et s’il existe la bande passante est très faible dans certains pays.

-manque de ressources technologiques et financières.

Stratégie de collaboration 2.0

L’implémentation d’un intranet collaboratif avec une structure en constante évolution construite par plusieurs utilisateurs, autonome et largement distribuée nécessite un travail continu qu’on résume dans certains points.

-Construire une base de données des informations utiles au travail et la partager en mode collaboratif (wikis).

-Construire une base de connaissances sur le principe des FAQ (FAQ collaboratives)

-faciliter et fluidifier la diffusion de l’information via une blogosphère interne, la partager à travers des signets, ainsi qu’exporter ces expériences vers un extranet collaboratif.

-Identifier les utilisateurs clés, valoriser ces fonctions et ces compétences.

-afficher la disponibilité des collaborateurs par des indicateurs de présence et d’activité.

-exploiter son réseau de collaborateurs pour filtrer les informations et rechercher la connaissance auprès des anciens  

-organiser la documentation par un système de mots clés.

 -créer des journaux d’activité pour tracer l’activité quotidienne des collaborateurs et évaluer à valeur ajoutée apportée par cette empreinte.

-externaliser en sous-traitance  la R&D ou certaines tâches à faible valeur ajoutée

-transmettre le savoir à travers des micro-formations, le V Learning  ainsi que le coaching collaboratif pour mettre en commun les objectifs professionnels des collaborateurs pour créer des groupes et des tuteurs.

Rôle des gestionnaires IT et des collaborateurs RH 2.0

Les gestionnaires s’efforcent continuellement à être réceptifs, et de bâtir une communauté solide et gagner la confiance de la population active autour d’une plate-forme commune qui permettra l’émergence des collaborations souhaitées tout en éliminant les contributions inappropriées. Aussi la nécessite accru d’établir un nouveau système de micro évaluation des collaborateurs visant une bonne répartition des pouvoirs.

 Chaque collaborateur doit s’impliquer dans cette collaboration par la  construction de son plan marketing personnel, la participation a des groupes informels, l’identification de ses coachs et ses soutiens potentiels, et aussi par la valorisation de son travail, de ses compétences

«Entreprise2.0 » perspectives d’avenir

Deux menaces potentielles demeurent. La première est que les travailleurs ne vont pas utiliser les nouvelles technologies, en dépit de la formation et l’insistance.  Ils vont juste l’utiliser, mais ne pas contribuer à la construction de la plateforme.  La seconde menace est que les utilisateurs pourraient utiliser les technologies entreprises 2.0 exactement comme prévu, mais cela peut conduire à discuter de la subtilité du contenu en ligne.

Les technologies « Enterprise2.0 » ont le potentiel de nous faire entrer dans une ère nouvelle en rendant à la fois les pratiques des  connaissances utilisées au travail et leurs circulations plus visibles. En raison des défis que ces technologies apportent avec eux, il y aura des différences significatives entre les entreprises quant à la capacité de les exploiter.

Prédictions

 À court et moyen terme

-le développement des outils technologique générera plus d outils de communications utilisées par une population de plus en plus aguerrie et connectés. les vidéos seront plus populaires et les outils multimédias plus performants.

-communication plus ciblée vers une population mieux décortiquée grâce à l’important volume des informations collectées à travers les web sociaux.

-La question de la normalisation et la législation de l’utilisation des web sociaux  dans les entreprises seront présentes dans les 5 années à venir.

-La sécurité et  la protection des informations personnelles et des droits  des utilisateurs seront au centre des intérêts des entreprises et des communautés des médias sociaux.

-les acteurs du web 2.0 en entreprise seront plus valorisés avec un  grand sentiment d’appartenance permettant de tisser de forts liens entre ses membres.

-les outils de mesure de performance seront plus complexes t plus abondante générant plus de statistiques et d’informations pour une meilleure analyse des performances.

À long terme

-le principe   du partage et de la collaboration accélérera le processus de prise de décision et entrainera un bouleversement de la hiérarchie traditionnelle et la démocratisation des prises de  décisions base sur l innovation et la créativité.  

-les changements démographiques, le pluriculturalisme, sont de nouveau défi que les entreprises 2.0  affronteront dans leur expansion dans le monde.

-Les plates-formes collaboratives seront plus flexibles et ont l’écoute des tendances  et facilite le changement des stratégies de l’entreprise pour une meilleure adaptation à son environnement. Les entreprises qui réussissent sont celles qui s’adaptent.

 Entreprise 2.0 : cas Danone  Dan 2.0

Danone géant de l’industrie agroalimentaire avec  178 sites répandus sur 90 pays  à travers le monde avec un total de 78 000 employés. Son mode managérial est base est fortement décentralisé. L’entreprise a bâti une culture collaborative via  le déploiement d’une initiative nommé «new ways of working » pour renforcer l organisation et la coordination pour une meilleure collaboration entre individus afin de booster ses performances. On citera les étapes suivies par Danone dans cette quête.

 – 2003 lancements du projet «Networking attitude» pour fonder une culture de partage  auprès de 10000 managers du groupe.ces partages de bonnes pratiques concernant des solutions, des problèmes ,des interrogations pour résoudre des situations problématiques stratégiques techniques ou contextuelles

 -2007 créations d’un annuaire électronique répertoriant tout les employés du groupe connu sous le non « Who’s Who »

 – 2008 lancements du projet Dan 2.0 avec le même principe du « Networking attitude» visant tout les employés ayant un ordinateur. Elle déploie une plateforme unique  avec les fonctionnalités du web 2.0

 -Danone a  décidé  après de lancer  un nouveau Who’s Who qui permet à chaque employé d’afficher ses compétences et son savoir-faire, ses centres d’intérêt ; de partager des documents et des idées sur leur propre blogue, mais aussi et surtout de créer des communautés virtuelles et de rejoindre les existantes avec des slogans comme « keep it simple » et « user friendly ».tout cela avec un accompagnement dans cette démarche a traves la sensibilisation, la formation et l éducation.cet outil est« le profiler»

En premier temps, Danone  a procédé à une analyse sociologique des comportements associés et désirés concernant l utilisation des outils du web 2.0 .en deuxième temps une enquête a été faite auprès de 400 employés pour comprendre les comportements vis avis ces outils  et les attentes dans cette implémentation.

 L’entreprise 2.0 de Danone  est un concept de développement organisationnel permettant de répondre à des problématiques d’efficience, d’agilité et d’innovation. Comme tout processus de transformation, il nécessite un engagement fort du top management notamment pour en accepter les principes « démocratiques » de cette philosophie managériale partagés et supporter un accompagnement au changement. Mais c’est surtout et avant tout un changement des comportements individuels. L’entreprise 2.0 est une mise en avant de l’individu par sa propre expression au sein d’un collectif social. Elle met donc l’individu au centre de l’entreprise et du management (« user centric »). En effet, chacun est potentiellement possesseur d’une connaissance pouvant être la source d’un avantage concurrentiel. Les outils associés à l’entreprise 2.0 permettent la maximisation du partage et l’optimisation de ses connaissances dans l’ensemble de l’organisation.

Statistiques et résultats

– 6 mois après son lancement, la moitie des employés a complété leurs pages. Et une cinquantaine de communautés ont été créées. Le nombre croissant de nouveaux profils et l’augmentation constante de poste, de commentaires ont été notés

– 70 % des connaissances échangées sont répertoriés  dans des présentations

PowerPoint (chacune est structurée selon le contexte, le problème, et la solution trouvée) ou sous forme de vidéos.  Près de 30% sont d’autres échanges de type socio affectifs (politesse, remerciement…)

-Près de 200 messages (posts taggés contenant une question sur une pratique) ont été mis en commun dans un « message in a bottle »

-Sur une base de 100 bonnes pratiques prises au hasard, 14% ont été réutilisées à l’identique, 18% ont été adaptées individuellement (conceptualisées)

-20% de bonnes pratiques ont été réutilisées ou adaptées conjointement

En conclusion, les réseaux et communautés virtuelles en entreprise deviennent de nouvelles structures sociales intra-organisationnelles, portées par les innovations technologiques du Web 2.0. le rôle des liens sociaux faibles pour connecter les « danoners » et partager les pratiques dans un répertoire commun, dont le but de favoriser la libre circulation des idées, responsabiliser le personnel et accélérer la prise de décision, développer une forte culture de l’expérimentation, développer l’excellence dans la communication interne et le dialogue.

Médias sociaux et Institutions financières

Les principales utilisations des médias sociaux par les institutions financières sont :

Peer-to-peer et le développement professionnel

-Écoute

 -Résolution des problèmes liés à la clientèle

 -Les initiatives de responsabilité sociale

 -Relations publiques et communications d’entreprise

-Les banques font du social media marketing

-création d’un lien privilégié

-création d’un lien informel

-attraction de nouveaux lecteurs

-maîtrise d’un canal de diffusion

-gestion souple et participative de la relation client.

Exemple : BNP Parisbas

BNP Paribas, première banque française à offrir un service après-vente sur Twitter avec l’ouverture du fil de support sur Twitter.

-les clients peuvent poser leurs questions en 140 caractères maximum.

-Une équipe 4 « community managers » se charge de leur apporter des réponses du lundi au vendredi entre 9h et 18h.

L’objectif : se rapprocher de ses clients, en leur proposant une relation « humaine » sur un nouveau media, complétant les canaux existants. Ils disposent ainsi d’une option supplémentaire et rapide pour leurs échanges avec la banque.

Réf :  

http://www.slideshare.net/fredcavazza/entreprise-20-la-collaboration-comme-lment-moteur-de-linnovation

http://fr.wikipedia.org/wiki/Entreprise_2.0

http://www.camillejourdain.fr/entreprise-2-0-definitions-schemas-videos-powerpoint/

http://www.awt.be/web/ebu/index.aspx?page=ebu,fr,foc,100,125

http://fredwpt.wordpress.com/tag/bnp-paribas/

http://www.agoravox.fr/actualites/technologies/article/l-entreprise-2-0-en-france-un-42312

http://www.e2conf.com/

http://www.entreprise20.fr/

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Henry Jenkins Culture participative en éducation : transparence et défi éthique

 La technologie continue de permettre la collaboration et la circulation des idées, il a également donné lieu à de nouvelles opportunités pour les consommateurs de créer leur propre contenu. La facilité avec laquelle les consommateurs peuvent créer du nouveau matériel a également augmenté. Une connaissance approfondie de la programmation informatique n’est plus nécessaire pour créer du contenu sur Internet.

Ce qu’une personne peut accomplir avec une machine dépassée dans une bibliothèque publique avec un logiciel de filtrage obligatoire et pas de possibilité de stockage ou la transmission n’est rien en comparaison avec ce qu’une personne peut accomplir avec un ordinateur à la maison avec accès à Internet sans entraves, à large bande passante, et connectivité continue. (Tendance actuelle actuelle afin de bloquer l’accès à des logiciels de réseaux sociaux dans les écoles et les bibliothèques publiques, va creuser l’écart de participation.) L’incapacité du système scolaire à combler cet écart de participation a des conséquences négatives pour toutes les personnes impliquées. D’une part, les jeunes qui sont plus avancés en technologies médiatiques sont souvent dépouillés de leurs technologies et dépouillés de leurs meilleures techniques d’apprentissage. D’autre part, beaucoup de jeunes qui n’ont pas eu d’exposition à ces nouveaux types de cultures participatives  en dehors de l’école se trouvent du mal à suivre avec leurs amies.

Facilité permise par la technologie, ne doit pas nécessairement conduire à une capacité accrue d’interpréter comment la technologie exerce sa propre pression sur nous. En effet, avec un accès accru à l’information, la capacité d’interpréter la viabilité de cette information devient plus difficile. Il est crucial, alors, de trouver des façons d’aider les jeunes apprenants de développer des tactiques pour s’engager avec  les outils et les ressources qu’ils utilisent.

C’est une «rupture des formes traditionnelles de la formation professionnelle et de socialisation qui pourrait préparer les jeunes à leurs rôles de plus en plus publique comme responsables médiatiques et membres de la communauté participative ». Par exemple, devenir journaliste autrefois serait généralement s’engager dans un apprentissage formel à travers des classes de journalisme guidé par un professeur. Avec un accès accru aux outils du Web 2.0, cependant, n’importe qui peut être un journaliste, avec ou sans un apprentissage de la discipline. Alors, il faut trouver des moyens d’aider les apprentis à développer des techniques de réflexion active sur les choix qu’ils font et  offrir des contributions à titre de membres d’une communauté  participative.

 Henry Jenkins a proposé une méthodologie de soutien de la culture participative  ou un cadre conceptuel émergent visant à définir et créer des infrastructures sociales et techniques dans lesquelles les cultures participatives peuvent prendre vie et de nouvelles formes de conception collaborative peut avoir lieu.

1-  Les contributeurs doivent croire profondément en leurs capacités d’apporter des  changements et ne se laissent pas intimider par le contraire.

2- Les changements doivent être techniquement faisables.

3- Les prestations doivent être perçues: les Contributeurs doivent obtenir des avantages en retour qui justifient l’investissement qu’ils font.

4- Les milieux doivent prendre en charge les tâches que les gens se livrent  à faire. Le meilleur des environnements ne réussiront pas si elles sont axées sur les activités que les gens ne considèrent que rarement ou d’une valeur marginale.

5- de faibles barrières doivent exister pour le partage des changements : l’évolution est fortement accélérée dans les systèmes dans lesquels les participants peuvent partager des changements et garder facilement  une  trace des versions multiples. Si le partage est difficile, il crée un fardeau inutile que les participants ne sont pas disposés à surmonter.

 

Référence:  http://www.newmedialiteracies.org/files/working/NMLWhitePaper.pdf

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Culture participative et Démocratisation culturelle

Un exemple de la tendance vers  la démocratisation de l’accès à l’information est la démocratisation de la culture. «La culture participative» est la tendance moderne de beaucoup d’individus contribuant à  la culture populaire, plutôt que la culture en cours de diffusion à partir d’une petite élite. Par analogie, l’hégémonie des médias qui avait le pouvoir et la responsabilité de contrôler les expériences culturelles des masses. Les Technologies de l’information d’aujourd’hui ont de démolir ce monopole que les radiodiffuseurs ont tant exploité.

 La démocratisation de  la culture à travers trois mécanismes: la création de contenu facile, la distribution et un meilleur processus d’édition.

Globalement, le concept de démocratie de l’information est basé sur le fait  qu’un nombre croissant de gens sont capables d’influencer la manière dont l’information est agrégée. Wikipédia est un exemple clair et simple qui permet à quiconque de contribuer à ce que d’habitude étais rédigé par quelques privilégiés «L’Encyclopédie». Algorithme Page Rank de Google a démocratisé la  recherche sur le Web. Le Logiciel le plus efficace aujourd’hui a démocratisé  l’ensemble des fonctionnalités en permettant aux utilisateurs de voter sur la manière dont ils veulent l’utiliser. Le principe général est qu’un grand nombre d’individus peuvent aussi prendre de meilleures décisions que n’importe quel petit groupe. En appliquant ce principe à la culture, nous pouvons prédire qu’une démocratie culturelle va produire «mieux la culture» que ce qui était disponible auparavant.

Les Technologies de l’information ont rendu à la fois  moins chères et plus faciles la  création et la distribution de la culture. Évidemment, l’Internet a rendu la distribution de ce contenu trivial, ce qui est perturbant  pour les entreprises traditionnelles des médias. La Création facile et la distribution du contenu culturel sont un pas important vers la  création d’une démocratie culturelle.

La plus importante clé pour démocratiser la culture est dans le processus éditorial. Si tout le monde peut contribuer  au contenu culturel et qui est facilement distribué, mais, il y a encore un petit groupe de décideurs qui contrôlent toujours ce que la masse peut voir, nous sommes encore dans une dictature culturelle. Permettre au public  de voter sur le contenu est l’étape de démocratisation. Cela permettra  à l’intelligence collective de choisir ce qui devrait devenir une partie de la culture de masse. Plutôt que certains cadres de programmation vont essayer de deviner ce qui va être populaire, la question devient presque théorique – ce qui est populaire devient la culture populaire.

  Pour finir, je dirais que la technologie analogique a créé la possibilité d’hégémonies culturelles,  et la technologie numérique les a brisés.  Le 20ème siècle sera probablement unique, car c’est  la seule période de l’histoire humaine où la culture populaire a été dictée par un groupe d’élite des éditeurs.

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L’apprentissage participatif

La culture participative dans le domaine scolaire à l’aide de « building blocks», un outil très intéressant destiné au milieu scolaire; une suite de ressources en ligne créée pour favoriser l’apprentissage participatif et supporter le changement  du système de soutien traditionnel dans les écoles par   l’insertion de l’utilisation de l’outil du web social.

Cet outil utilise principalement le web 2.0, il est composé de trois produits :

1- gérer avec le web2.0 venu supporter les opérations de gestion administrative,

 2- apprendre avec le web 2.0 à travers l’implication des intervenants principaux dans l’éducation, les enseignants, et les parents dans des conversations via le web 2.0 afin d’améliorer l’apprentissage participatif.

 3- le leadership transformatif avec le web 2.0, pour aider les dirigeants à évaluer l’adoption et l’utilisation de ces outils pour l’apprentissage au sein de leurs écoles.

La culture participative dans le domaine de l’éducation vise à développer une intelligence collective, en consolidant la réflexion de plusieurs personnes sur un sujet, un problème ou une orientation. Il facilite l’accès à des informations utiles à travers le partage avec autrui, des expériences et des compétences. Cela permet en plus aux personnes moins confortables avec la communication directe de s’exprimer via des forums en ligne qui constituent, aux élèves, un espace pour se faire remarquer ou poser des questions. Comme l’information est constamment modifiée, mise à jour. Les étudiants, enseignants, administrateurs, concierges et parents sont invités à contribuer à l’élaboration du contenu. Les gens peuvent choisir les groupes auxquels ils interagissent, ça leur permet d’être plus motivés à explorer des sujets d’intérêt profond et obtenir une rétroaction rapide des autres. Ce qui donnera naissance à des communautés distinctes, dynamiques, ayant des intérêts communs et qui peuvent étendre leurs relations personnelles ou interactions.

Les étudiants et les enseignants peuvent acquérir des compétences professionnelles en collaboration avec les autres enseignants du même domaine au niveau local ou international sur les différentes pratiques pédagogiques, ou les meilleures approches éducatives avec les étudiants sur des projets collaboratifs, dont le but d’un épanouissement au niveau personnel ou professionnel.

http://www.cosn.org/initiatives/web2/resources/videos/tabid/7121/default.aspx http://www.cahiers-pedagogiques.com/spip.php?article6882 http://www.cosn.org/initiatives/web2/participatoryculturesuite/tabid/7283/default.aspx

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Impact de l’identité numérique

Le sujet de l’article de Marc Collin est particulièrement important parce qu’il met l’accent sur une récente problématique liée à l’usage des réseaux sociaux : c’est ce qu’on appelle la réputation numérique.

En effet, beaucoup d’employeurs commencent à aller chercher des informations sur leurs candidats sur le web et souvent sur les réseaux sociaux.

Du fait que le phénomène est assez récent, les recruteurs n’ont pas encore développé une certaine aptitude à faire la part des choses entre la vie privée et la vie professionnelle des candidats. Donc tout ce qu’un candidat dévoile sur sa vie privée peut être retenu contre lui dans sa quête professionnelle et peut lui porter préjudice dans sa carrière.

Ceci dit, le fait de tout mettre en privé ou de ne pas utiliser les réseaux sociaux, comme le suggère l’article, ne me parait pas une bonne solution pour protéger sa réputation numérique. Le fait d’avoir quelques traces négatives sur son profil numérique peut parfois se révéler moins préjudiciable que de ne pas avoir de profil numérique du tout. En effet, certains recruteurs peuvent interpréter le fait d’absence de réputation numérique sur un candidat comme une sorte de manque de transparence, de refus de partage de l’information ou tout simplement  manque d’intérêt aux NTIC…

Il est, dès lors, vivement conseillé de soigner son image sur internet soit avec  l’aide de professionnels  sur le sujet ou tout simplement, et c’est la moindre des choses, faire un nettoyage de son profil numérique de temps à autre pour effacer toute trace susceptible de nuire à sa réputation numérique.

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Usurpation d’identité sur les réseaux sociaux suite

Cet article constitue une suite logique à l’article précédent sur l’usurpation de l’identité numérique sur les réseaux sociaux. Il étaye l’importance de la gestion des mots de passe sur Internet. En effet, tel que l’article de marc collin le mentionne avec une statistique d’AVG très éloquente, beaucoup de gens ont tendance à sous-estimer l’importance du mot de passe et utilisent souvent des mots de passe faciles à découvrir par des cybercriminels très avertis sur le sujet. D’autant plus que, sur les réseaux sociaux, les gens dévoilent beaucoup d’information sur leur vie privée, ce qui peut donner plusieurs indices aux  hackers pour découvrir un mot de passe faible. D’où la nécessité d’utiliser ces bonnes pratiques énoncées dans l’article pour une meilleure gestion des mots de passe.

D’autre part, et outre, la vulnérabilité des comptes liée à l’usage de mots de passe faibles, les utilisateurs des réseaux sociaux doivent être conscients que la plupart de ces sites ont été initialement conçus pour la communication et le partage d’informations personnelles, donc avec très peu de souci pour l’aspect sécurité ajouté à cela, le fait que le contenu de ces sites est alimenté par les utilisateurs eux-mêmes et non par des professionnels de la sécurité du contenu.

Les réseaux sociaux présentent une grande opportunité pour les gens avant-gardistes, qu’il est pour les cybercriminels, d’où la nécessité d’utiliser des logiciels qui permettent de se prémunir des menaces du Web 2.0 et réduire les brèches de sécurité pour préserver son identité numérique intacte sur le web.

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Usurpation d’identité sur les réseaux sociaux

Dans sa définition, l’article de kokouviblog  parle de l’usurpation d’identité de manière générale, alors que l’idée autour de laquelle il s’articule est celle relative aux réseaux sociaux. Autrement dit une forme d’usurpation de ce qu’on appelle aujourd’hui l’identité numérique. Il conviendrait peut-être de décliner d’abord une définition de l’identité numérique. De manière simple on peut dire que l’identité numérique correspond à celle qu’une personne prend sur le réseau Internet. Elle peut être une copie exacte de son identité réelle comme elle peut être un pseudonyme. Ce qui nous mène à la problématique de l’usurpation d’identité. On a souvent vu des gens prendre pour pseudonyme le nom réel de quelqu’un d’autre, notamment des stars de cinéma ou de la chanson ou tout simplement des gens que certains prennent pour modèle dans leur vie. Sur internet, l’usurpation de l’identité est en fait beaucoup plus liée à l’usage qu’on fait de l’identité déclinée qu’à l’identité elle-même. Ainsi, comme nous le propose l’article, l’usurpation de l’identité sur internet, telle que définie par  l’association des consommateurs du Québec (Option  Consommateurs), est le fait de colliger ou d’utiliser les renseignements personnels d’une autre personne à son insu, afin d’en tirer frauduleusement un bénéfice, qu’il soit financier ou autre. C’est le fait de prendre délibérément, l’identité d’une autre personne en vue de commettre des actions frauduleuses commerciales, civiles ou pénales. L’exemple le plus parlant est celui de l’escroquerie. Le plus souvent, des cartes de débit ou de crédit ont été utilisées à l’insu des vrais propriétaires pour faire des transactions bancaires ou faire des achats en ligne.

Les chiffres présentés dans l’article sont très éloquents. L’usurpation de l’identité sur les réseaux sociaux à connu une augmentation vertigineuse à par rapport à toute les formes d’usurpation d’identité connues  (de 8,3% en janvier 2010 à 84,5% en mai 2011). Ceci s’explique, bien entendu, par le succès flamboyant qu’ont connu les réseaux sociaux qui. Un succès qui constitue une aubaine pour le cybercriminel pour commettre leurs crimes.

Cependant, l’article  mentionne que pour se protéger de l’usurpation d’identité, on doit  mettre à jour son antivirus et ses logiciels. Il est vrai que se sont des actions très utiles dans cette lutte contre l’usurpation de l’identité, mais à mon sens le premier conseil à donner est celui d’améliorer  la gestion de ses mots de passe sur internet, notamment en utilisant des mots de passe robustes en les changeant régulièrement et d’éviter d’utiliser un seul et même mot de passe sur plusieurs sites.

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Ticker : Raconter sa vie sur Facebook

Le Ticker est un flux continu d’informations qui se trouve sur le côté droit de la page principale de Facebook. C’est là que vous verrez tous les menus détails alimentés par vos  amis. Et c’est là qu’interviennent les nouvelles  applications.

Lorsque vous êtes sur Facebook, vous voyez dans votre Ticker, que votre ami est à l’écoute de  la nouvelle chanson de James Blunt. C’est en temps réel, car il l’écoute en utilisant le soft de Spotify. Vous cliquez sur ce Ticker et vous pouvez écouter la même chanson au même moment. Votre ami reçoit alors un avis que vous écoutez, aussi, afin que vous puissiez en discuter dans une fenêtre de chat. Cela ne fonctionne pas seulement avec des activités en temps réel. Il marche  aussi avec des livres, des recettes, même des sentiers de randonnée, car Facebook a ajouté des verbes à la liste déroulante. Votre statut sera «lire  » un livre, au lieu  «aimer» un livre, ou « regarder » un DVD ou la «cuir»  un repas.

Tout cela aboutit à ce que Zuckerberg appelle « Realtime Serendipity . »(Découverte inattendue) Chaque activité devient une recommandation, et c’est pourquoi c’est étonnant pour les gestionnaires marketing. Nous savons que les gens ont tendance à essayer quelque chose si leurs amis l’ont déjà ‘essayé.

L’autre chose est que le téléscripteur peut créer une « expérience sans friction. ». Lorsque vous choisissez une application, vous donnez cette autorisation à l’application pour publier votre activité au Ticker. Cela signifie qu’il sera affiché sur le côté, non mélangé à des mises à jour importantes. Cela signifie également la fin de ces messages « Partager sur Facebook » boîtes qui apparaissent quand jamais vous accomplissez quelque chose dans un jeu par exemple.

Le nouveau visage de Facebook

Je suis vraiment excité au sujet du nouveau visage de Facebook. C’est plus d’informations; mais présenté d’une façon plus nette,  plus élégante. Il prend l’info  partagée sur une variété de sites (GoodReads, GetGlue, Netflix) et met le tout dans une seule place.

Le nouveau Facebook est toute une aventure dont une partie est, de plonger et découvrir toutes les nouveautés par vous-même. Il y a simplement beaucoup de choses à découvrir même si  tu n’étais pas un grand fan avant. Je crois que cette nouvelle structure va ouvrir tout un monde de possibilités pour les utilisateurs.

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Timeline : Raconter sa vie sur Facebook

Facebook est sur ​​le point de changer et cette fois il ne s’agit pas d’un bouleversement de votre barre latérale ou un remaniement de la façon dont les choses apparaissent sur ​​votre mur. Cette fois, le changement est grand. C’est une toute nouvelle façon de se connecter avec le monde et de partager les choses qui sont importantes pour vous.

Il s’agit du « timeline», et du  « ticker » et  toute une nouvelle série d’applications Open Graphique que  Facebook a lancé dernièrement.

Je suis d’accord avec Chany Carle quand il dit dans son article (Facebook reprend la pole position) que Google+ a fait bouger les choses plus rapidement en trois mois chez Facebook que pendant les quatre dernières années ! La compétition est rude entre les deux géants.

 Dans cet article, je me contenterais de parler de TimeLine et discuterai de ticker dans un autre article.

Timeline est l’un des deux grands changements structurels à Facebook. C’est censé raconter l’histoire de votre vie en présentant tout ce que vous avez fait (et mentionnée sur Facebook) dans l’ordre chronologique. C’est vraiment un calendrier, tout comme celles que vous utilisez.

Le tout commence avec vos plus récentes activités, puis il se déplace vers l’arrière à travers le temps, progressivement en compressant votre activité de plus en plus à chaque pas en arrière. Ainsi la section de 2010 montrera plusieurs cases d’information par rapport à 2000. Vous pouvez zipper directement à n’importe quelle année en utilisant la barre latérale de navigation ou en défilement Pas de pagination en arrière, tout est sur la première page. Pratique non?

En voyageant dans le scénario, vous verrez des points qui représentent des événements datés. Les Points grisés peuvent être ouverts en planant sur ​​eux. Ce sont des événements Facebook jugés moins importants. Voulez-vous ajouter une photo de votre mariage, trouvez la date sur le calendrier, puis remplissez les informations dans la zone État.

Maintenant, vous avez la possibilité de revenir en arrière et de remplir les grands moments de votre vie même si vous n’avez pas Facebook à l’époque. Le résultat final est une récapitulation assez cool de ce qui vous êtes pour tout le monde (ou personne de votre choix). Le but est de raconter l’histoire de sa vie, mais une question se pose sur la question de la vie privée. Comment la protéger?

Gérer sa confidentialité dans la Timeline

Les paramètres de confidentialité n’ont pas bien entendu disparu du Timeline, et il est toujours possible de choisir qui pourra voir ses informations pour chaque publication. Repérez également la roue dentée, située au-dessus de vos publications, et qui vous donnera accès à plus d’options et de personnalisation. Il est également possible de se rendre dans les paramètres de confidentialité, où plusieurs réglages à propos de vos publications pourront être appliqués avec précision, empêchant ainsi certaines personnes d’accéder à des informations trop sensibles.

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Impact réel des médias sociaux sur le trafic web

 Comme les entreprises ont développé leur capacité à analyser le trafic web, il est devenu de plus en plus important de se ramifier à autant de domaines que possible pour atteindre des clients. Comprendre comment les différentes sources de trafic interagissent avec votre site web est tout aussi important que le travail auquel vous consacrez votre temps et vos ressources. Il suffit de regarder le volume du trafic de différentes sources de trafic dans Google Analytics (GA). Les chiffres ne mentent pas, mais ils n’ont pas toujours peint le tableau le plus précis non plus. Juste parce que quelqu’un a visité votre site à partir d’une recherche organique, n’exclut pas qu’ils ont été influencés à visiter votre site à partir d’un autre canal.

Des statistiques ont démontré que « Moins de 1% des visites du site Web, en moyenne, viennent directement d’une URL de médias sociaux (http://www.foreseeresults.com/research-white-papers/research-by-subject.shtml#web-analytics).

Cette constatation suggère que l’impact direct des médias sociaux est minime, mais aussi que la vraie valeur des médias sociaux ne peut être quantifiée rien qu’en examinant le trafic provenant directement d’une URL de médias sociaux. « En termes simples, si vous avez une présence dans le domaine des médias social, vous n’avez probablement pas vu beaucoup de trafic dans vos données GA liées à des sources de trafic des médias sociaux. Est-ce dire que vous devez abandonner vos efforts pour construire votre présence des médias sociaux? Absolument pas, considérant que 18% des visiteurs du site reconnaissent être influencés par les médias sociaux pour visiter le site, selon les conclusions du rapport. C’est une lacune importante dans les chiffres. En fait, il est en étroite conformité avec la façon dont les gens utilisent les médias sociaux – ils sont là pour l’interaction sociale, mais peuvent encore être influencés par des sociétés ayant de solides stratégies marketing des médias sociaux. Quand il est temps pour les visiteurs de trouver une entreprise,  leurs expositions antérieures à votre entreprise dans les médias sociaux influencent leur décision de visiter votre site. Ils peuvent faire une recherche sur Google pour vous trouver, et dans les premières données de Google GA on  obtient le crédit pour la visite du site, mais il était de votre présence sociale des médias que vraiment conduit ce visiteur de votre site.

Où il est vraiment intéressant est de savoir comment les visiteurs influencés par les médias sociaux interagissent avec un site web?, selon le rapport, les visiteurs des sites influencés par les médias sociaux sont plus fidèles et des clients satisfaits, et ils achètent plus que les visiteurs qui n’ont pas été influencés par les médias sociaux. Lorsque vous prenez en compte ces connaissances dans la statistique, le 1% mentionné dans la recherche devient un nombre plus significatif.

La valeur des visiteurs du site varie entre les sources de trafic. Établir une présence dans tous les aspects de l’Internet offre aux entreprises la possibilité d’atteindre tous les types de visiteurs. Il est important de comprendre la relation symbiotique entre les différentes sources de trafic vers votre site. Gardez cela à l’esprit la prochaine fois que vous réviserez les sources de trafic et dues à votre présence sur le Web externe. Globalement les visites à partir de vos canaux de médias sociaux sont les plus inférieures que d’autres sources de trafic, mais peuvent être plus grandes en termes de valeur ajoutée à votre ligne de fond.

Les conseillers marketing luttent pour répondre comment ils peuvent quantifier la contribution du marketing des médias sociaux à la ligne de fond et si leurs présences dans les médias sociaux peuvent influencer des comportements futurs, comme les achats hors ligne ou en utilisant le site comme une ressource primaire.

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